tag:blogger.com,1999:blog-8427042741309398685.post4866398397345156289..comments2024-03-15T09:10:48.353-07:00Comments on Chroniques de Pereslavl: la belle fougèreLaurence Guillonhttp://www.blogger.com/profile/01384025352109578103noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-8427042741309398685.post-90656481315265103182022-06-11T10:06:24.468-07:002022-06-11T10:06:24.468-07:00Je n'ai jamais été gauchiste et j'ai toujo...Je n'ai jamais été gauchiste et j'ai toujours détesté le costar. Ce n'est pas pour cela que j'aime tout ce que vous décrivez par ailleurs. Laurence Guillonhttps://www.blogger.com/profile/01384025352109578103noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-8427042741309398685.post-82270033831623804532022-06-11T08:23:58.606-07:002022-06-11T08:23:58.606-07:00Pas d'accord avec Bonnal sur l'exemple du ...Pas d'accord avec Bonnal sur l'exemple du costard cravate. Il y a sans doute mieux à garder chez le situationniste Debord, qui a vieilli quand même un peu. Le costume n'est pas mort oui, mais qu'est-ce qui lui fait concurrence, et est en train en fait de le supplanter ? Des parodies indifférenciantes : le jean et le blouson de cuir, vêtements de travail, qui depuis les années 60 déguisent le patron en ouvrier (puis la femme en homme) alors que dans le même temps le jeune bourgeois nihilisé détruit tout sens de la tenue (dans tous les sens du terme) et de la décence ; puis ce fut les simili pantalons treillis militaires qui dans les années 90/2000 déguisaient les civils urbains dėvirilisės (alors qu'en France le service militaire était aboli, d'ailleurs) et les femmes endoctrinées par l'esprit "girl power", en semi personnages de jeu vidéo. Et maintenant le règne du "street-wear" a triomphé en matière d'élégance. Les bourgeois ont aligné durablement le canon de la beauté vestimentaire sur celle rappeur afro-américain. Le costard n'est pas l'ennemi, Bonnal date et se plante en reprenant ce qui est en fait un poncif gauchiste.Nicolashttps://www.blogger.com/profile/09271398559564594797noreply@blogger.com