lundi 8 novembre 2021

Dernière étape

Ce matin, j'ai enfin réussi à aller à l'église et à communier. J'ai communié normalement, et baisé le calice, et bu du thé dans une coupelle en argent. L'absolution, quand le prêtre m'a recouverte de son étole et a posé ses mains sur ma tête, est descendue sur moi avec une consolante douceur et l'eucharistie m'a fait l'effet concret d'une vivante et vivifiante parcelle de divinité. J'ai discuté avec la femme du prêtre qui m'a demandé si j'allais me faire vacciner, je lui ai répondu que j'avais six mois d'immunité et ne savais ce qui m'effrayait le plus, de la maladie ou du soi-disant vaccin. 
C'est aussi son avis.
En rentrant, j'ai trouvé une série de messages du copain de Skountsev, Mikhaïl. Il me fallait prendre contact avec l'hôpital Botkine pour aller à la consultation en vue de la pose d'un stent à l'urètre et d'un examen approfondi, pour éviter le blocage du rein, et décider de la thérapie ultérieure, ce qui nécessitait une hospitalisation, mais j'ai l'impression qu'elle ne sera pas bien longue. Comme j'ai pris l'assurance russe de base, elle sera gratuite. Et comme mes analyses sont très bonnes, il n'y a pas péril en la demeure, mais enfin il ne faut pas trainer non plus, car avec toutes ces conneries, cela fait presque deux mois que je me promène avec un rein qui ne fonctionne pratiquement plus. Mania a obligemment contacté l'hôpital, car je ne comprenais rien, et une dame m'a aimablement rappelée, j'ai rendez-vous après demain à l'aube, avec escale chez le père Valentin demain soir. Le cauchemar touche à sa fin.
Une amie m'a dit que son fils, atteint de la covid, avait pris de l'ivermectine et de l'azythromycine, il était guéri au bout de deux jours. Ici, on n'utilise plus ces médicaments, sur instructions de l'OMS. On a développé une autre procédure de soins, à base d'antiviraux et d'antibiotiques, cela dure 12 jours, pendant lesquels on s'empoisonne le foie, encore vous soigne-t-on, à la différence de la France. En ce qui me concerne, j'ai perdu 10 jours enfermée au régime, en vue d'un examen qui aurait pu être remplacé par celui qu'on va me faire dans un hôpital normalement équipé, où on aurait dû m'envoyer, dès la crise terminée. Ensuite, je suis me suis retrouvée 12 jours enfermée avec la covid et mon rein malade, à bouffer des tonnes de pilules, au lieu d'être traitée 3 jours à l'ivermectine, et je suis restée encore 15 jours en quarantaine... et on voudrait que je fisse confiance à l'OMS et au vaccin qu'on nous impose avec des méthodes cyniques et brutales? 
Je me fiche de ce qu'on me fera à l'hôpital Botkine, car là, j'ai confiance, j'ai confiance, car c'est un bon hôpital, et que j'y entre par le biais de la solidarité cosaque. De plus j'en ai tellement ras le bol que j'y vais vraiment joyeusement. Nil gardera les chats et Gilles Rita. Et après, terminé. Il ne reste plus qu'à demander l'intercession du saint médecin Pantaleimon.




A propos de l'opération covid et de tout ce qu'elle nous apporte comme malheurs, voici ce qu'écrit et publie Serge Livron:

De la malveillance
Du fait de l’abjection mercantile et sanitaire qui a pris le pouvoir dans les nations occidentales, la pandémie que nous subissons est un triomphe pour la part maudite de l’humain : nous assistons à la fois au triomphe exécrable des kapos, des menteurs, des minables, de la lâcheté, de la bêtise et de la veulerie. Un triomphe qui est exactement de même nature que celui qu'offrent toutes les tyrannies aux collabos et aux aigris. Assujettie par la peur, l'humanité se résume au pire d'elle-même.
Oui, la magnifique gestion de la « crise sanitaire par les dirigeants occidentaux aura eu sur l’humanité des effets effroyables, dont il est hélas à prévoir qu’ils perdureront bien au-delà du moment où toute cette clique aura été désavouée par l’explosion de la vérité – explosion d’autant plus éloignée et tardive que tout ce qu’il y a de plus hideux en l’homme n’a cessé d’être sollicité pour permettre à la charge de mensonges nécessaires aux mercanti qui nous gouvernent de bien asseoir leur sujétion.
Tous les ressorts de la laideur mentale et psychologique auront en effet été sollicités, non seulement en tant que composantes de l’âme, mais en tant que carburant des interactions cognitives et sociales les plus néfastes.
Sous la houlette abjecte de la peur, bien sûr, parce qu’il n’est pas de meilleur moyen de réduire l’intelligence humaine à néant. La peur rend celui qui en est atteint non seulement perméable à n’importe quelle sottise, mais aussi prêt à exercer sur ses semblables toutes les agressions susceptibles de leur nuire, pour peu qu’il s’en sente justifié par son droit à survivre. La violence devient instantanément légitime, dès lors qu’elle permet d’écarter de son chemin celui ou ceux qui menacent son paisible cours. C’est ainsi que nos gouvernants n’ont eu de cesse de terroriser les crédules, à coups de chiffres de décès, à coups de statistiques de risques menaçant la vie de chacun jusque dans son intimité. Mais ils ont aussi réussi à les persuader qu’il était moralement responsable et civique de se faire le petit flic de ses voisins, de ses collègues, et même de sa propre famille. Ils ont introduit la division et la suspicion, les ont récompensées.
Les ayant divisés et affolés, ils ont fait de citoyens qui se croyaient adultes et responsables, des enfants idiots et désespérés – car ils ont aussi aboli l’espérance, et c’est sans doute ce qu’ils ont commis de plus grave et de plus odieux. Et le paradoxe, c’est que chez nous, en France, ceux qui ont orchestré cette monstruosité l’ont fait au prétexte de la bienveillance qu’ils avaient mise à leur programme !
Ayant trompé et rabougri l’intelligence de leurs menaces, ceux qui diffusent et manipulent la peur possèdent du même coup un ressort incassable pour s’assurer dans la durée l’assentiment des imbéciles qu’ils ont dupés : l’orgueil - puisqu’il est impossible à un humain normalement doté de reconnaître qu’il a été trompé mais qu’il a, qui plus est, fait sous lui pendant des mois. Ainsi les dupés s’enfoncent dans l’erreur et le déni jusqu’à préférer voir détruits ceux qui osent les confronter aux conséquences de leur jobardise.
Tout ce qu’on voit triompher depuis dix-huit mois, l’aigreur des incompétents des plateaux, l’incohérence institutionnelle et institutionnalisée, le mensonge assumé et permanent de ceux qui étaient censés nous informer et nous protéger, le chantage, la délation, la félonie de nos représentants - dont la récente abdication de leurs prérogatives par 122 députés supporters du tyran Marron, bref : la trahison de tout l’apanage des vertus humanistes qui ont fondé notre culture, découle de cette manipulation malveillante de l’âme par la peur.
Méfiance et flicage sont devenus les deux mamelles de notre quotidien malade. Dans les lieux publics, les magasins, sur les places et les rues, même, on ne compte plus les interventions hargneuses de citoyens arborant fièrement leur regret de ne pas voir châtiés séance tenante ceux qui refusent le conformisme servile maquillé du faux-nez de « civisme » et réclamé par la hiérarchie étatique - ce monde où nul ne se sent plus coupable de déshonneur puisque chacun s’empresse de revendiquer de n’en être qu’un pion obéissant, : « je me contente de respecter la consigne, moi, monsieur ».
Ainsi l’infection qui règne a gangrené la société et les rapports humains à un point tel qu’elle est capable désormais, de « rouler toute seule » ; et l’on voit effectivement mal comment l’humanité pourra lui survivre, quand elle a laissé le conformisme et l’angoisse la salir jusqu’à tolérer que ses meilleurs serviteurs, les plus utiles contributeurs au bien-être social soient chassés de leurs postes par la volonté arbitraire d’une poignée de manipulateurs incompétents et nocifs. Qu’il suffise de rappeler :
- les médecins et chercheurs bannis de leurs fonctions pour avoir dit ce qu’il ne fallait pas dire, pour avoir soigné avec ce qu’il fallait refuser de prescrire pour ne pas qu’on s’aperçoive que des remèdes sans danger et peu chers sont efficaces, pour avoir cherché à rassurer et à prendre en charge des mourants ;
- les soignants interdits de fonctions parce qu’ils refusaient de se plier à l’obligation de subir une pseudo médication non testée et dangereuse ;
- les sauveteurs qu’on empêche de sauver, pour les mêmes raisons, et alors qu’on a arrêté l’économie des deux tiers des nations du monde en prétextant du danger de saturation de nos capacités de secours et de soin ;
- les enseignants, professeurs des lycées et collèges, poussés à la démission parce qu’on leur demande d’enseigner masqués à des enfants que le masque étouffe physiquement et mentalement ; hommes et femmes dont la vocation est précisément de transmettre à des petits d’homme les outils qui font de l’homme un être de liberté et d’unicité, dont on exige qu’ils les élèvent soudain comme du bétail anonyme ;
- flics, même – pourtant le seul corps professionnel à qui le projet délétère de nos gouvernants fait risette et dont l’avenir prospère, quand celui des autres a disparu – mais qui sont vomis par tous parce qu’ils sont sommés de discriminer et de punir de préférence les citoyens qui sauvent l’honneur de nos valeurs et de laisser courir ceux qui les méprisent.
Les dupes du récit délétère du régime disent en général que l’humanité n’en est hélas pas à sa première traversée du désert, et qu’il y a des exemples pas très vieux d’abominations dont elle a réussi à se relever. Sans doute. Il n’empêche que depuis quelques temps, - trois ou quatre mois, pas plus, - j’entends fréquemment, des vieilles gens ou des personnes que la maladie condamne, me dire ou m’écrire que le monde tel qu’il se dessine leur semble si odieux que l’approche de la mort leur paraît presqu’heureuse! Et je ne suis pas certain que ce genre de pensées ni de propos aient été souvent annonciateurs de lendemains qui chantent.
Si l’avenir advient finalement, ce ne sera certes pas à ceux dont chaque décision, chaque mot, chaque acte le font déchanter qu’on le doit mais, comme toujours, à ceux qui auront su leur résister. Car seule l’espérance sauve l'avenir.


4 commentaires:

  1. Il y a très très peu de résistants. Point. Bravo pour la Communion Laurence.

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  2. Salutations Laurence;tu a traverse avec et grace a la foi cette dure epreuve d'une hospitalisation en periode plus qu'inquietante,et ceci t'as donne une solide experience personelle de l'interieur de cette "industrie"...Te souhaite avec l'aide de Dieu et st Panteilemon un rapide retablissement;portes toi au mieux! Serge Rivron "maladiets" bravo!Le premier verset psaume 1er:Bienheureux l'homme qui ne va pas au conseille des impies.......La recette est pourtant simple et connue depuis la nuit des temps et nous a ete transmis par un simple berger.....Iakov.

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    1. Je me joins au commentaire de Iakov et vous "tiens les pouces" pour la pose du stent.
      Cordialement,
      Astrid

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  3. Saints et désintéressés thaumaturges, vous qui opérez des miracles, venez, nous vous
    en supplions, visiter nos infirmités ; vous avez reçu gratuitement, accordez-nous la
    guérison malgré notre indignité.
    STROPHE.
    Dépositaires de la grâce qui guérit nos souffrances, vous conférez le don de la santé
    à tous ceux qui sont éprouvés par les maladies. Célèbres thaumaturges, secoureznous,
    repoussez loin de nous les atteintes des ennemis qui nous combattent, et que le
    monde obtienne sa guérison par votre assistance.
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