Hier soir,
grosse fringale, j’ai fini le morceau de saint Nectaire. J’ai perdu 10 kilos
dans l’affaire, il faudrait éviter de tous les reprendre. Mais pour l’instant,
il faut que je récupère et ces fringales sont un signe de guérison. Si
seulement je ne devais pas en plus traiter les cailloux ! Cela soumet mon
organisme à rude épreuve tout cela. Néanmoins, je reprends lentement du poil de la bête, j'arrive même un peu à chanter.
Dany a été recrachée hier par l’usine à covid,
elle est rentrée chez elle, le jour de son anniversaire, après un mois et demie
de calvaire, j’admire sa force d’âme. Elle est entrée là bas très légèrement
atteinte, au bout de trois jours, elle avait une pneumonie géante. Cela dit, elle estime avoir été très bien soignée.
Un moine du mont Athos recommande une grande
mobilisation de prière à travers le monde, il voit venir une offensive
démoniaque sans précédent sur l’humanité, et c’est bien ainsi que je le
ressens, c’est peut-être ce qui explique ce fond latent d’angoisse que je
traîne alors qu’objectivement, je vais nettement mieux. Mais j’ai été happée,
et rejetée, par toute cette folie, je l’ai vue de près, et je me sens désormais
prise entre une affection que je ne voudrais pas contracter une seconde fois,
avec tout ce qu’elle implique, un vaccin en lequel je n’ai guère confiance, on
nous y pousse trop, et avec des méthodes de bandits, et la perspective de
trembler au moindre rhume d’être enfermée à nouveau avec les pestiférés.
Curieusement, tout cela se déchaîne en Russie,
alors qu’à l’horizon on fait briller la reconnaissance du vaccin spoutnik au
niveau international. Ca tombe bien, quand même. Et voilà qu’on déploie toute
les méthodes de l’occident démocratique, la vaccination forcée, le chantage, l'hypnose, le contrôle électronique permanent, ou du moins, on se propose de le
faire. Pas sûr que les gens acceptent, ils en ont ras le bol de leurs députés
et fonctionnaires tous plus ou moins véreux, et le tsar Poutine a de moins en
moins de crédit, on a beau se dire que lui, il est très bien, mais que ses
boyards sont mauvais, ça commence à bien faire. Du reste, dès le début de la
crise covidienne, ou disons, dès que Sobianine s’est déchainé à Moscou et que
Poutine s’est transformé en mannequin de cire, je ne l’ai pas sentie du tout,
cette histoire. Et le patriarche tremblotant, et le métropolite Tikhon avec son
homélie apocalyptique. Pas bon.
Cependant, après, on est entré dans une
période où tout le monde faisait semblant, et où la vie était plus ou moins
normale. Jusqu’à ces derniers temps.
A vrai dire, moi je serais ravie de pouvoir
faire joyeusement confiance à un vaccin ou un traitement, mais il faut être
singulièrement aveugle ou sous-informé, ou amnésique pour ne pas se poser de
questions. Ici aussi, on parle de troisième dose, et puis après ce sera la dose
trimestrielle à vie, avec tout l’attirail totalitaire correspondant. Ici aussi,
des vaccinés tombent malades, et j’entends parler de graves effets secondaires.
Et puis tout cela semble obéir à un chef d’orchestre, qui arrose depuis l’extérieur,
les musiciens qui nous jouent du pipo.
Je ne sais pas d’où est sorti le joyeux virus,
et m’abstiendrai de développer mes intuitions sur la question, mais ce dont je
suis sûre, c’est que, depuis le début, tout a été fait pour que cela tourne au
cauchemar de science-fiction où l’on nous a plongés. Il y avait dès le début le
traitement Raoult qui marchait fort bien, dès le début, on l’a interdit, et
même en Russie, où il a été utilisé, on a fait courir le bruit qu’il était « très
très dangereux ». Parce que c’était la version de l’OMS.
Le professeur Montagner avait prévenu que
vacciner en temps d’épidémie provoquait l’apparition de variants plus
virulents, on l’a traité de gâteux, et les variants sont apparus les uns après
les autres. Donc limiter les traitements efficaces ou les interdire, vacciner
coûte que coûte, avec un produit expérimental, variants ou pas variants, d’ailleurs
plus il y a de variants et plus les gens morts de peur sous leur masque seront
disposés à se précipiter sur la seringue. Et mise en place sournoise d’une
société répressive irrespirable tandis que tout le monde est installé dans la
dépendance de l’injection permanente.
Maintenant, je me dis que Dieu m’a procuré six
mois de paix et d’immunité, avec cette maladie, et que peut-être d’ici là l’horrible
échafaudage se cassera la gueule. En attendant, le conseil du moine du mont
Athos est sans doute le bon, pour ceux qui prient. Je suis incapable d’appliquer
ce qu’il préconise, de prier toutes les trois heures, mais il me semble qu’il
faut au moins prier dès qu’on a un moment, ou la peur au ventre. Déjà, pour ne
pas devenir fou soi-même, et aussi pour agir au niveau spirituel sur les
entités qui utilisent nos politiciens, journalistes et médecins et leurs
patrons de l’oligarchie.
Je pense le coeur serré à tous ceux qui sont
venus chercher un asile ici, ou préparent leur départ. Mais bon, comme dit le
père Andreï, on ne sait jamais ce qui peut se passer en Russie. Et jusqu’à
présent, les offensives des divers Sobianine ont dû reculer devant la force d’inertie
de la population. Et puis on échappe encore à la théorie du genre, à la culture woke et à la submersion migratoire complète...
Elle pourrait aussi, cette population, finir
par perdre patience, et Dieu sait ce qui se passerait alors. Mais cela n’a pour
moi, à la limite, plus tellement d’importance. Si le « dictateur »
Poutine se couche, alors une révolution de couleur n’est même plus nécessaire.
Le combat est déjà gagné. A moins qu’une vague jaune générale, globale... le jaune
gilet fluo, c’est la seule couleur fiable, en ce registre.