Psychopompe
Lasse d’attendre et d’espérer
J’espère en Dieu.
Michel archange au ciel arqué
Ailes de feu, glaive dressé,
De nous auras-tu donc pitié,
Quand nous viendrons à trépasser ?
Parmi les astres écumeux
Sur nous poseras-tu les yeux
Quand nous menant auprès de Dieu
Tu nous découvriras les cieux ?
Nous n’avons pas su, de nos ans,
Tirer de l’or et de l’argent,
Nous avons tout dilapidé,
Nous voici vieux et fatigués
Il n’est plus temps.
Bel Archange prend donc pitié
De nous et puis de nos parents.
Conduis-nous comme des enfants,
Avec eux dans l’éternité,
Dans les grands champs illuminés
D’après le temps.
D’après le temps qui a passé
Sur nous, sans qu’au fond de nos cœurs,
S’éteigne le reflet sacré,
Sous le vent sombre des malheurs.
Un peu de vie dans la poussière
Qui fleurira dans la lumière,
Si Dieu le veut et nous reçoit
Aux champs dorés de l’au-delà.
On se calme. Ce n'est pas encore le moment (sourire).
RépondreSupprimerEt arretons de nous plaindre en nous contentant de faire le beau le bien et le saint (Un Cours en Miracle) autant que nous en sommes capables.
C'est le choix qui s'offre à nous tous les jours.
Ceci est un poème qui a environ dix ans. C'est un poème sur un thème qui concerne à peu près tous les moments de la vie, et qui fait partie d'un recueil, inspiré en partie par quelqu'un qui m'était cher. Je n'appelle pas "se plaindre" écrire des poèmes, et ce faisant, je pense faire sinon le bien et le saint, au moins le beau, en tous cas, c'est le but. Et j'entends bien continuer à "me plaindre" de la sorte, pour la gloire et l'amour de Dieu qui m'a faite ainsi.
SupprimerOui, contentez-vous de faire le beau, le bien et le saint, une tranche de chaque, un peu comme un sandwich, monsieur l'Anonyme, et combien vous avez raison, de ne pas écrire sous votre nom!
SupprimerBonjour monsieur l'autre anonyme.
RépondreSupprimerDésolé si je n'ai pas de compte Google.
Et si j'avais écrit sous mon nom il se serait passé quoi ?
Rassurez-vous je suis en contact par courriel avec Laurence depuis des années et j'en profite pour lui dire que si, des poèmes peuvent être des plaintes.