Nous assistons
tous à l’installation d’une dictature mondiale ou du moins à des tentatives
arrogantes, et accélérées visant à l’installer, mais toujours dissimulées, bien
qu’imposées d’en haut, sous des prétextes qui en masquent le contenu.
Ainsi plein de
gens, en occident, qui sont persuadés que les Russes sont des brutes, ne comprennent pas la résistance, notemment de l’Eglise, à la loi sur les
violences domestiques, une loi qui permet déjà, dans les pays scandinaves,
d’enlever abusivement les enfants à leur famille sous des prétextes très
légers. On voit aussi des cas de ce genre en France. Et même déjà en Russie, ou
sans avoir une telle loi, les fonctionnaires des services sociaux commettent
des abus de pouvoir et mettent parfois enfants et familles dans des situations
affreuses. Que sera-ce demain, si cette loi est adoptée ?
Si l’on comprend,
comme moi, qu’une dictature de type Big Brother est en voie d’installation par
des gens qui ont une mentalité de mafieux et de satanistes, on regarde chacune
de leurs lois noblement intitulées avec une extrême méfiance. Sous prétexte de
protéger femmes et enfants, c’est d’exercer un total contrôle sur les individus
dès le berceau qu’il s’agit. Et de briser tous liens familiaux et toute
éducation traditionnelle. Cette loi n’est ni plus ni moins que la mise en œuvre
du contrôle d’une bande de créatures des ténèbres sur des gosses qu’elles
dresseront à leur gré sans que les parents puissent rien faire.
J’en ai trouvé le
résumé que voici :
Les « juvénaux » ont le droit de
s’ingérer dans n’importe quelle famille
et d’enlever n’importe quel enfant, à leur gré, sans jugement du tribunal.
La quantité d’enfants dans une famille nuit à la
qualité de vie de chaque enfant, ce qui crée un prétexte pour les enlever. (Donc
si vous avez une famille nombreuse et repeuplez les contrées qui doivent être
livrées par les mêmes malades au remplacement de population et au métissage,
vous êtes déjà susceptible de voir vos enfants placés chez n’importe qui).
Les « juvénaux » évaluent et dictent aux
parents les méthodes obligatoires d’éducation et d’entretien des enfants (si
vous êtes contre la théorie du genre, l’initiation précoce à la sexualité, si
vous donnez une éducation chrétienne à vos enfants, ou trop intellectuelle, ou
Dieu sait quoi encore, on peut vous les enlever) .
Toutes les mesures disciplinaires sont interdites
en famille. La punition est une violence et contrevient aux droits des enfants
(car si les éducateurs peuvent désormais se permettre de montrer à vos gosses
les bienfaits de la masturbation décomplexée, vous, vous n’avez pas le droit de
leur donner la fessée qui part toute seule et qui semble même attendue comme une catharsis. Or les
meilleurs gosses que j’ai vus de ma vie, les plus attachants, les plus
gentiment spontanés, avaient une éducation stricte, où on ne les battait pas
comme plâtre, mais où le père était à la fois admiré et respecté).
Les droits des enfants sont supérieurs à ceux des
parents. Les parents sont présumés coupables.
La justice
juvénale est une instance particulière qui n’est pas soumise aux tribunaux
internes et externes au pays (c’est-à-dire que tout cela provient bien du même
endroit que la théorie du genre et autres absurdités destructrices, des
instances supranationales qui sont, toute personne consciente doit le savoir à
présent, entre les mains d’une caste mafieuse au dessus des lois qui est en
même temps une secte.)
Par conséquent,
les Russes et l’Eglise russe font preuve d’un discernement réconfortant en ne
se laissant pas piéger à la culpabilité et aux bonnes paroles. Vous confieriez
l’éducation de vos enfants à Georges Soros, aux époux Clinton ? A l’ogre
du Petit Poucet ? A Gilles de Rais ?
Parallèlement,
nous voyons surgir ce qui est
pudiquement appelé « la loi sur les libertés religieuses » au
Monténégro, qui n’est rien d’autre qu’une spoliation éhontée de l’Eglise serbe,
devant à mon avis précéder, comme en Ukraine, l’installation d’une « Eglise
autocéphale ». Mais la plupart des occidentaux voient écrit :
« liberté religieuse » et hochent la tête avec approbation, comme
lorsqu’ils voient « démocratie » ou « droits » des uns et
des autres. C’est déjà un réflexe de Pavlov bien installé. La loi en question
est destinée à casser l’orthodoxie, dernier bastion d’un christianisme cohérent
et authentique, et va déclencher sur place les mêmes persécutions qu’en
Ukraine. De surcroît, le patriarche Irénée ayant résisté aux intimidations mafieuses de la
CIA, il convient de le punir en déclenchant ces désordres. Ensuite, on ira
faire la même chose en Tchécoslovaquie, où des jalons ont déjà été posés, en
Géorgie. Et Pompeo s’apprête à aller en Biélorussie, essayer de trouver des
maillons faibles. En fait, partout où est allé le patriarche Bartholomée
essayer de faire reconnaître son golem autocéphale ukrainien, dirigé par un aventurier
notoire et grotesque, déguisé en métropolite, il a été précédé d’une délégation
américaine décidée à préparer le terrain, la carotte dans une main et le bâton
dans l’autre. Mais plein d’imbéciles font encore une fixette sur le KGB fantôme
qui n’existe plus en tant que police politique depuis la Perestroïka, ou
disons, les années Eltsine.
Pour ne pas voir
que l’Amérique tente de diriger le monde à la manière dont Al Capone
administrait Chicago, il faut vraiment délibérément fermer les yeux.
Tout nous est,
avec une grande fourberie, présenté sous le paquet cadeau d’intentions
magnifiques. Ainsi le pape qui nous livre avec enthousiasme au génocide par
submersion migratoire et métissage forcé, indifférent à la détresse matérielle
et morale croissantes des indigènes, aux abus dont ils sont l’objet, aux
persécutions religieuses (et politiques) de plus en plus patentes, accommode
l’Evangile à la sauce bisounours pour nous faire accepter ce qui mettait nos
ancêtres à cheval, flamberge au vent, tandis que les manants faisaient chauffer
l’huile bouillante aux créneaux. A cela, j’ai trouvé pour réponse une anecdote
du métropolite Antoine de Souroj, homme de Dieu irréprochable :
"Je dirigeais une fois la retraite de carême
pour les étudiants d'Oxford, et à mon premier entretien, je ne sais plus ce que
j'avais dit, un de ceux-ci s'approche de moi et me dit:
- Je quitte la retraite, vous n'êtes pas chrétien.
Je dis:
- Bon, quitte-la, mais explique-moi au moins en
quoi je ne suis pas chrétien?
Il dit:
- Vous n'êtes pas pacifiste.
Je dis:
- Non, je ne suis pas pacifiste, je ne crois pas
qu'il ne faut jamais réagir. Et toi, tu es pacifiste?
Il répond:
- Oui.
- Et tu es prêt à aller jusqu'au bout dans ton
pacifisme?
- Oui, jusqu'au bout.
- Eh bien alors réponds à ma question. Tu entres
dans ta chambre et tu vois qu'un voyou s'apprête à violer ta fiancée. Que
fais-tu?
Il me dit:
- J'essaie de le convaincre de renoncer à sa
mauvaise intention.
- Bien, supposons que pendant que tu lui fais un
discours, il continue son affaire.
- Je me mets à genoux, et je prie Dieu d'empêcher
cela.
- Eh bien, et si quand même tout se produit, il se
lève et il s'en va, que fais-tu?
- Je prie Dieu pour que de ce mal sorte un bien.
- Tu sais quoi? Si j'étais ta fiancée, je
chercherais quelqu'un d'autre, parce que oui, ta démarche est cohérente, mais
c'est quand même épouvantable!"
En
effet, c’est épouvantable, un pape qui livre ses ouailles aux infidèles et
participe à la transformation de l’Europe en gigantesque Kossovo. Comme il va
exactement dans le sens de la caste qui fiche la pagaille en Ukraine et au
Monténégro, et cherche à pourrir la Russie de l’intérieur, toujours à l’affût
du maillon faible, du traître qui va faciliter ce sale travail, nous pouvons en
conclure qu’il est à son service.
Cependant, le soulèvement serbe est spectaculaire et bénéficie du
soutien musulman local, de même qu’un ministre tchétchène a fait un discours
enflammé pour soutenir la Russie orthodoxe éternelle qu’il respecte, contre les
« valeurs occidentales » qu’il méprise. Peut-être va-t-il se produire
quelque chose de salvateur…
Cela fait déjà un
moment que les ressemblances entre le communisme bolchevique d’il y a un siècle
et le bolcho-capitalisme qui s’installe commencent à m’apparaître. Mais le
second s’exprime un peu différemment. Pas de camps de concentration, en tous
cas pas pour l’instant. Mais les paysans ont presque tous disparus, les
derniers se suicident en série. C’est me semble-t-il mieux réussi que la
collectivisation atroce des années 30 qui fait un peu désordre et a laissé
subsister quand même quelques kolkhosiens et leur folklore, depuis longtemps
oublié chez nous par les « exploitants agricoles ». Les campagnes,
les petits commerces, les artisans sont l’objet depuis longtemps de
persécutions subtiles, l’URSSAF, les normes européennes, les impôts, le manque
de considération, et maintenant, cela ne vous étonne pas que les tribunaux donnent
toujours raison aux emmerdeurs qui ne supportent pas le chant du coq ni les
sonnailles des vaches, et font déménager des gens de leur ferme ancestrale ou
fermer des boulangeries ? Dans tous pays et civilisation normaux, les
nécessités du travail passeraient avant les caprices des mauvais coucheurs…
Pas de destruction officielle d'églises, pas de persécutions avouées, mais l'incendie jamais poursuivi et même rarement commenté dans la presse, de nombreuses églises, dont Notre Dame dont on ne me fera jamais croire qu'elle fut victime d'un mégot mal éteint. Et les profanations de cimetières, les destructions de crèche, les intimidations diverses, les sarcasmes, la propagande incessante et imbécile des séries télévisées, des romans, des manuels scolaires, l'histoire effacée et travestie, là aussi on dirait que le libéralo-bolchevisme arrive mieux à ses fins que le bolchevisme en bottes de tchékistes.
Enfin pour ce qui est de la terreur rouge, nous avons plus subtil, nous aurons la terreur noire qui commence d'ailleurs déjà, et à laquelle s'opposer est raciste, d'autant plus qu'en tant que blancs, nous avons à peine le droit d'exister, comme on le démontre à la fois à la population de souche et à celle qu'on lui importe par millions, en lui fournissant toutes les justifications qu'elle attend pour piller, violer, torturer et tabasser impunément.
Il me manque même pas au tableau les spoliations, puisqu'on envisage de rendre la propriété viagère pour tous, sauf pour la poignée de sangsues qui contrôlent le monde, et les appartements communautaires, puisque nous sommes vivement invités, avant d'y être obligés, à héberger les hôtes africains invités par nos satrapes.
Si vous voyez tout cela, on vous dit que vous avez la berlue; ou mauvais esprit.
Cependant,
je viens de regarder des vidéos sur l’ancien ministre Yves Cochet qui m’ont fait réfléchir.
On parle de transhumanisme, de dictature
globaliste, de pucer les gens et de les traquer avec la reconnaissance faciale,
comme en Chine, cet immense abcès de germes toxiques consuméristes dont
certains égarés admirent la « réussite économique ». Mais lui est
persuadé que tout va s’effondrer et qu’on en reviendra aux carrioles attelées d’ici
15 ans, il se prépare à vivre en autarcie sur sa ferme. Je ne suis pas éloignée
de le croire, en réalité, c’est même ce qui m’aide à supporter tout ce que je
vois de révoltant. On accumule trop de méfaits et de monstrueuses bêtises pour
que cela puisse encore durer bien longtemps. Et là, je ne parle même pas de
justice divine mais de l’enchaînement des causes et des conséquences. La fantastique nuisance de la civilisation
technologique fondée par le capitalisme arrive certainement au bout de son
ubris déchaînée.
Il ne
reste plus qu’à se tourner vers Dieu, à lui faire vraiment confiance au sein du
maelstrom qui nous engouffre tous dans le fracas des clameurs médiatiques et des cris impuissants de rage et de terreur. Ce que je ne fais pas assez.