LE METROPOLITE LUC A COMMENTE UN FILM HOLLYWOODIEN
Il semble que les auteurs de science-fiction contemporaine sentent intuitivement la vérité des paroles prophétiques de l'apôtre. C'est ce qu'a développé ces jours-ci sur sa chaîne Telegram le métropolite Luc de Zaporojié et de Mélitopol
"Il n'y a pas si longtemps qu'a eu lieu la première du film américain "Ne regardez pas vers le haut". Le metteur en scène Adam Mac Kay co-auteur avec Leonardo di Caprio a su offrir aux spectateurs un film plein d'un sens profond, en dépit du fait qu'il se positionne comme de la science-fiction satirique", a observé monseigneur Luc.
On aurait pu se moquer des politiciens minables qui ne se préoccupent que de leur rating personnel, des journalistes vénaux pleins d'assurance, qui ont oublié qu'ils étaient mortels, des richards devenus fous, capables d'aimer seulement leur portefeuille, si tout cela n'était pas la vérité de la vie. Ils ne nous donnent pas du tout envie de rire, les simples travailleurs qui ont depuis longtemps oublié Dieu, la foi, la prière, et supposent naïvement que les puissants de ce monde se préoccuppent d'eux et pourront résoudre leurs problèmes. Mais la vérité la plus triste de ce film, c'est qu'une telle dégradation de l'humanité conduira inévitablement à une perdition générale" considère le hiérarque.
Selon lui, les valeurs mensongères du monde virtuel, la focalisation sur son propre égoïsme et l'autosuffisance illusoire de la civilisation aboutiront d'une manière ou d'une autre à un final mortel. "La raison pour laquelle périra notre planète n'est pas si importante: par l'effet de quelques forces célestes ou bien nous étoufferons-nous dans le magma incandescent de notre propre planète, ce qui est important, c'est que LA TERRE ET TOUTES LES OEUVRES A SA SURFACE BULERONT (2 Pierre 3:10), - poursuit le métropolite Luc. Et semble-t-il, les auteurs de cette science-fiction contemporaine sentent intuitivement la vérité de ces paroles prophétiques de l'apôtre.
D'après le sujet du film, le seul homme qui n'a pas oublié Dieu est un "marginal et un freak, qui dans tout le chaos de la fin du monde trouve en lui des forces pour la prière et la repentance".
Comme le pense monseigneur, ce film fait réflechir chacun à SA PROPRE "FIN DU MONDE", "qui on ne sait pourquoi préoccuppe beaucoup moins de gens que notre fin collective". "Et pourtant le résultat de l'une et de l'autre sera le même. Et si nous ne vivons pas jusqu'à la fin du monde, nous sommes sûrs et certains de vivre jusqu'à notre propre fin " rappelle-t-il. Mais on ne sait pourquoi, la conscience de l'absurdité de tout ce qu'il a vécu ne vient à l'homme qu'au moment où il reçoit son dernier et définitif diagnostic qui l'assure de sa mort prochaine. quand changer radicalement l'état de son âme est devenu déjà impossible.
"Nous avons maintenant tout ce qu'il nous faut pour sauver notre âme. Dieu, dans Sa miséricorde, nous donne aussi ce qui est indispensable à la vie, mais quelle réponse lui donnons-nous et comment le remercions-nous? " conclut le métropolite Luc.
МИТРОПОЛИТ ЛУКА ПРОКОММЕНТИРОВАЛ ГОЛЛИВУДСКИЙ ФИЛЬМ