Voici un article intéressant d'Igor Drouz.
https://ren.tv/blog/igor-druz/1110973-zapadnye-tradit..
J'ai écrit un article comme quoi les vieux stéréotypes sur les nations qui nous sont hostiles ne marchent pas: il s'est déjà formé un gouvernement mondial sous condition, qui réprime tout projet national. Les anglosaxons ne gouvernent pas le monde, ils sont à genoux, s'excusant d'être restés blancs et hétérosexuels. Les Polonais ne s'apprêtent pas à "partager l'Ukraine", et ne le pourraient pas, même s'ils le voulaient. Les Allemands ne sont pas des nazis, c'est une nation asservie, qui éxécute les ordres des liberman mondialistes. Et le Vatican contemporain n'est pas l'héritier des croisés, en dépit de tous leurs défauts, mais celui des traditions révolutionnaires des Jacobins et des Rotschild (ce qui est infiniment pire):
"...les autorités cosmopolites de Grande-Bretagne crachent sur la nation anglaise comme personne ne 'la encore fait. Ces jours-ci, de nombreux médias mondiaux ont publié une étrange nouvelle sur ce thème: dans la célèbre université de Cambridge, on apprend aux étudiants que les anglo-saxons n'existaient pas en tant que groupe ethnique distinct. La direction a expliqué que cela rend l'enseignement plus "antiraciste", dans la mesure où le terme "anglo-saxon" est utilisé pour soutenir les idées racistes "d'identité anglaise de souche". C'est-à-dire qu'on déclare sur un ton offensant aux Anglais que leur nation n'existe pas et n'a jamais existé, et celui qui dira le contraire sera raciste!
Et beaucoup de leaders de l'opinion publique, engagés par le gouvernement, font là bas de telles déclarations. Par exemple, il y a environ deux ans, l'archevêque de Canterbury Justin Willby a déclaré qu'à la lueur du mouvement Black Lives Matter, l'Eglise Anglicane "doit réviser la façon dont on représente le Christ sur les statues et les icônes". Willby a dit qu'il valait mieux représenter un Christ de type négroïde, arabe ou chinois, "sans remarquer" que cela contredisait la vérité historique et discriminait les blancs.
On ne peut pas dire que le peuple anglais ne se soit pas indigné et n'ai pas essayé de résister. Le Brexit a eu lieu sous les slogans de l'arrêt de l'importation de migrants, pour laquelle les Anglais accusaient justement l'Union Européenne. Pourtant, après le Brexit, la situation est devenue encore pire: il s'est avéré que le déplacement massif d'asiatiques et d'africains en Grande-Bretagne, c'était la politique de son propre gouvernement, et pas seulement de la Commission européenne.
D'après les bilans de 2021, le record du chiffre de l'émigration pure fut établi; 504 mille personnes, alors qu'avant la sortie de la Grande-Bretagne de l'Europe, il restait au niveau de 250 personnes par an. Or en 2022, le compte des migrants extareuropéens est monté à 670 mille! La composante nationale de l'Angleterre change, et de plus, l'appareil d'état donne toujours la préférence aux migrants par rapport aux blancs, ce qui cause à la population de souche un puissant inconfort. A Londres et Birmingham, les Anglais sont devenus une minorité ethnique. Entre 2011 et 2021, à Birmingham leur part a baissé de 52 à 43 %, à Londres, de 45 à 37%. En province, le tableau est plus ou moins semblable. De plus la police et les services spéciaux protègent toujours les bandes ethniques de migrants, et si les Anglais essaient de s'organiser pour se défendre contre eux, ils sont marqués tout de suite de l'étiquette de racistes, poursuivis par les médias, persécutés par les forces de l'ordre.
Même l'aristocratie britannique pro maçonne de la classe moyenne est obligée maintenant de céder un peu la place dans les postes gouvernementaux, car elle conserve séditieusement quelque chose de traditionnellement anglais. C'est pourquoi elle est de plus en plus obligée de s'effacer devant les "musulmans inclusifs", tolérants à l'imposition par les autorités de drogues et de perversités, mais déclarant le djihad aux chrétiens blancs, avec le soutien de la machine gouvernementale.
De plus, les autorités supérieures de Grande-Bretagne ont fait baisser radicalement le niveau de vie de la population de souche avec leurs sanctions contre la Russie.
Et le comportement de la Pologne ne peut être compris si l'on part des représentations traditionnelles sur sa politique "revancharde", de son désir de recreéer la grande Rzecz Pospolita. Il est maintenant clairement visible que la politique de la Pologne ne ressemble non seulement pas à une politique impériale, mais même à celle d'un pays souverain. Si ce pays était gouverné par des personnes aux vues impérialistes, il s'unirait à la Russie en vue d'un partage de l'Ukraine. Et si la Pologne était gouvernée simplement par des souverainistes, alors ils respecteraient la neutralité dans l'intérêt de leur pays, commerçant avantageusement avec la Russie, en contournant les sanctions occidentales. Mais la Pologne n'est gouvernée ni pas les uns ni par les autres: elle l'est par des marionnettes, placées là par les mondialistes, lesquels contre l'intérêt de leur pays sont de facto entrés en guerre avec la FR, en soutenant activement l'Ukraine, vouant à la mort ses soldats, qu'on envoie combattre sous le vocable de "mercenaires indépendants". En outre, les autorités pro occidentales de ce pays l'ont submergé de migrants ukrainiens, ce qui a cassé l'unité ethnique de la Pologne et créé un précédent pour de futurs affrontements interethniques...
Si le pape François rappelait vraiment les papes traditionnels, il n'agirait pas ainsi dans la situation donnée. Il ne marcherait pas du même pas que le Département d'Etat et Soros, qui introduisent une dépravation extrême dans les territoires conquis. En dépit de tous leurs défauts, les latins n'avainet pas l'habitude de soutenir les satanistes...
La politique du Vatican contemporain, c'est le fondamentalisme libéral, qui est par essence l'entithèse du christianisme. Ce que confirme le soutien du pape François à la politique du "multiculturalisme", la dissolution des peuples chrétiens d'Europe dans le flux des migrants hétérodoxes. Il s'élève contre la fertilité dans le cas des femmes européennes, mais invite en Europe les familles nombreuses musulmanes.
De sorte qu'il est temps de rejeter les vieux stéréotypes sur les ennemis géopolitiques du monde russe. Aujourd'hui, le rôle des gouvernements nationaux et des anciennes confessions européennes est réduit à néant, ils sont tous gouvernés par des structures supranationales, hostiles à tout ce qui est conservateur et chrétien. a présent, les vrais patriotes de Pologne, d'Allemagne et même d'Angleterre soutiennent d'ordinaire la Russie, voyant en elle, fût-il lui-même affaibli, le dernier refuge des valeurs traditionnelles et de la vieille Europe. De même, nous soutiennent les derniers vrais catholiques, par exemple l'archevêque Vigano, qui a défié le pape mondialiste et ne craint pas de donner une interview qux médias russes. Bien sûr, il ne faut pas se faire d'illusions: d'énormes masses de populations européennes sont zombifiées par la russophobie. Mais il reste quand même là bas pas mal de traditionnalistes qu'il faut attirer chez nous...
Sa vue des choses est juste dans l'ensemble et je serais heureuse que les Russes y prêtassent attention, au lieu de faire comme il le déconseille, de brasser de vieux stéréotypes, ce que font parallèlement leurs adversaires pour faire marcher les imbéciles. Sortir des vieux stéréotypes est une nécessité des deux côtés de la barrière. Cela s'appelle essayer de regarder la réalité en face au lieu de la masquer derrière les slogans dont on a l'habitude. Mais c'est qu'elle n'est pas belle à voir, et une fois qu'on l'a vue...
Sous le post où Igor Drouz propose des extraits de son article, ceux que j'ai traduits, un lecteur objecte, comme pas mal de Russes qui continuent à se raconter des histoires, que des hordes d'asiates se déversent pareillement sur la Russie et ajoute à mon endroit qu'ils ne se conduisent guère mieux qu'en Europe. Mais je trouve que les situations ne sont pas comparables. Certes, il y a beaucoup d'immigrés asiates, chez les Russes, cela fait des siècles que cela se produit périodiquement. Mais en dépit de tout ce qu'on peut raconter, et de la nécessité d'enrayer le processus ou de le réguler, ils ne se conduisent généralement pas comme en Europe. On me répond "parce qu'ils sont moins nombreux", eh bien oui, déjà! C'est déjà un point remarquable. En Europe, c'est par millions qu'on nous déferle dessus, cela est organisé, planifié, préparé de tous les côtés; la mère Merkel a ouvert les vannes en 2015, après que Sarkozy, avec BHL et leurs copains de l'etat profond américain, aient assassiné la Libye avec son dictateur. Les asiates que je côtoie à Pereslavl sont polis, calmes et sans histoires. A Moscou, pendant que j'essayais de me garer derrière lui, un asiate, alors qu'un Russe serait sorti de sa précieuse voiture pour me fusiller du regard d'oser prendre le risque de l'érafler pour caser la mienne, a jailli de la sienne pour m'aider à manoeuvrer... Je ne vois pas dans les médias russes ce que j'ai vu encore récemment dans les nôtres, un Français se faire insulter et agresser par une voilée impudente qui lui ricane à la figure qu'il n'est plus chez lui dans le pays de ses ancêtres, et que prétendre y tenir est du racisme caractérisé. A la libération, on fusillait sommairement et tondait ceux qui n'avaient pas résisté à l'envahisseur allemand, et maintenant, on fait le procès public de ceux qui tiennent à rester ce qu'ils sont, et qu'ils ont toujours été, allez comprendre... Allez comprendre pourquoi!
Il est net qu'ici, il y a aussi des mondialistes, qui travaillent dans le même sens que les nôtres, mais ils n'ont pas eu le temps d'aller aussi loin, bien que beaucoup de mal ait été fait, et le terrain préparé par le soviétisme, comme chez nous par la République. Et puis, je le répète, les migrants ici n'ont pas le comportement qu'ils ont chez nous, qu'ils soient asiates, caucasiens, arméniens ou ukrainiens, même s'il peut arriver qu'ils se conduisent mal. On dirait d'une part que l'Europe récolte la canaille du monde entier, et d'autre part, que la totale complaisance des autorités et des médias à son égard lui permet de penser qu'elle peut tout se permettre.
Mais il y a encore autre chose. En plus des comportements de sauvages en goguette, les viols et passages à tabac, que je crois spontanés et encouragés par un laxisme voulu, je suis de plus en plus persuadée que beaucoup d'attentats et de profanations d'églises, même si des zombies musulmans ou autres dingues comparables peuvent être utilisés, sont le fait de la mafia qui manoeuvre les compradors de l'UE. Pour sidérer les gens, pour détourner notre attention, pour nous manipuler. On me traitera de complotiste et j'assume, on verra si mes intuitions sont justes ou si je me trompe. Je peux me tromper, en tous cas, il s'agit vraiment d'intuitions, pas de conclusions établies sur de longues enquêtes, des intuitions de femme anxieuse qui depuis longtemps assemble l'horrible puzzle de la vérité post-moderne au gré des pièces qui lui tombent sous la main.
Dans l'Art-Bar où j'installe mon exposition, j'ai eu une altercation avec un libéral local, à cause du Z que j'ai cousu sur mon sac-à-main. J'étais trop fatiguée et occupée pour mener loin la discussion, je lui ai dit, plus ou moins, que nous n'avions pas les mêmes valeurs. A mon retour, j'en ai parlé à ma voisine Ania, qui a eu cette réponse superbe: "Laurence, ce n'est pas la peine de discuter avec ces gens-là, il ne faut pas les laisser passer à travers vous".