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samedi 26 octobre 2019

Mémoire universitaire


Il y a des moments où « attendre l’Apocalypse avec confiance » n’est pas toujours simple. C’est-à-dire que l’attendre avec confiance, je peux, l’attendre dans un calme olympien, c’est plus dur.
Pour m’éviter des coups de sang, je ne vais plus sur la page facebook que voici : https://www.facebook.com/groups/2425082894439432/ consacrée, si l’on peut dire, à la défense de l’archevêque Jean de Doubna et ouverte à tous vents. C’est une option démocratique respectable du créateur de la page, mais qui dans un contexte que je connais bien, lui ramène évidemment des trolls ukrainiens et des excités haineux complètement imbéciles et à mes yeux très peu orthodoxes, des spécimens sous hypnose de la boboterie, souvent d’origine russe. M’empoigner avec les imbéciles étant mauvais pour ma paix intérieure assez souvent éprouvée, j’avais décidé de m’en abstenir.
Là-dessus, une jeune femme d’origine russe m’adresse le copié-collé du post d’un jeune homme fraîchement « converti » à l’orthodoxie après un séjour d’un an en Russie, séjour qui l’autorise à vaticiner sur la question avec une arrogance de freluquet diplômé des grandes écoles, ce qui pour moi est d’ailleurs tout dire. Quand je l’ai vu quasiment accuser l’Eglise russe de meurtre, je lui ai dit que je souhaitais qu’il ne revînt jamais en Russie, où il n’apporte que du malheur, et en lui conseillant d’écouter les sages conseils d’un moine que nous connaissons tous les deux. Ce moine est d’ailleurs intervenu, mais le freluquet est bien trop content de lui pour écouter qui que ce soit. Et puis apparemment, il a un compte à régler avec les Russes, à moins qu’il ne soit suffisamment sot, avec tous ses brillants diplômes, pour gober les calomnies délirantes que colportent en Russie même médias occidentalistes et mondialistes, libéraux divers et communistes à qui les nouveaux martyrs de Russie restent en travers du gosier.
Voici le texte du post.
P.-S. Pour revenir à Un Tel... Ce n'est pas le personnage qui m'intéresse en tant que tel, mais le fait qu'il propose à des personnes opposées au "P.M." de relater leur expérience, en somme. J'imagine ce dont certains sont capables comme imagination débordante et affabulations allant jusqu'à l'intoxication. Voici ce que propose Un Tel. (en public) : "Chers amis,
Certains le savent déjà, mais je voudrais interroger plusieurs personnes qui connaissent - de près ou de loin - les différentes affaires dont ils furent les malheureux témoins et qui les opposèrent au Patriarcat de Moscou et à la Fédération de Russie.
J'ai déjà écrit un premier mémoire universitaire sur les relations entre l'Eglise et l'Etat en Russie post-soviétique (que je pourrai transmettre à ceux qui le souhaitent).
Cette année, j'écris un deuxième mémoire, portant sur la même thématique, axé sur le caractère géopolitique du partenariat Eglise-Etat en Russie. Plus précisément, je souhaite analyser comment les diasporas russes orthodoxes en Occident font l'objet de multiples influences géopolitiques.
Merci pour votre contribution.

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Commentaires"
Je ne suis pas allée lire les commentaires, fouiller les poubelles n’étant pas mon occupation favorite, je n’ai pas envie de me coller de la tension. La russophobie hagarde s’exprime si librement sur cette page démocratique qu’on y attrape des démons comme les chiens prennent des tiques dans les maquis. Je ne nomme pas non plus ce triste jeune homme, et je ne fais pas de capture d’écran. Il aura assez de problèmes avec ça au jour du Jugement.
Bien entendu, en fouillant dans les poubelles comme il l’a fait avec déléctation pour écrire son mémoire qui, je n’en doute pas, aura une note pharamineuse et les félicitations du jury, on peut toujours trouver des prêtres et des hiérarques indignes. Mais moi qui ai passé non pas un an en Russie, mais seize, et fréquenté des milieux ecclésiastiques, je témoigne que ce qui a pu me choquer, et qui était de l’ordre de la bigoterie ou du manque de charité, je l’ai rarement vu de mes yeux. Cela m’a toujours été raconté. Depuis trois ans à Pereslavl, j’ai une haute idée de notre jeune évêque, des monastères, prêtres et fidèles locaux.
Je vois aussi circuler beaucoup de calomnies enragées et stupides d'ennemis fanatiques de l’Eglise ou plus simplement, de trolls appointés.
Donc, en lançant cet appel, je ne doute pas une minute que ce garçon va récolter une masse de témoignages croustillants et étayés, vrais ou faux,  qu’il répercutera aussitôt avec bonheur dans sa misérable thèse complaisante à l’Ordre Mondial établi.
Je suppose qu’en fouillant dans les poubelles de l’Eglise grecque on trouverait aussi des personnalités douteuses et des événements regrettables. Bien consciente qu’on peut aussi y trouver autant de lumineux personnages que dans n’importe quelle église locale, et j’en connais, je voudrais quand même dire qu’il n’est vraiment pas besoin de lancer un appel au peuple, en ce moment, pour avoir les détails qui feront peut-être, qui sait ? l’objet de la prochaine thèse du jeune homme, s’il avait le courage de la soumettre. Ces détails nous sont assénés avec une telle impudence, une absence si complète de vergogne, un mépris si absolu de l’opinion des gens et des ennuis qu’on peut leur attirer que je ne comprends même pas comment des orthodoxes un tant soit peu au courant de ce qui se passe dans le monde peuvent encore continuer à vaticiner sur la dictature Poutine, le « KGB », devenu depuis des années un service de contrespionnage ordinaire à qui les nôtres n’ont rien à envier. Cela tient vraiment de l’hypnose.
Alors je vais répertorier quelques faits connus de tous, bien que pas toujours en réalité, ou éclairés de manière malhonnête. Je passe sur les acquointances œcuméniques ou maçonniques du patriarche Bartholomée qui me le rendaient un brin suspect, mais enfin, jusqu’à ce qu’il dévoile son vrai visage, j’ai prié pour lui dans le monastère où je suis allée pendant six ans, on ne prie pas que pour les gens sympathiques ou irréprochables.
Je ne parlerai pas non plus de l’archevêché, que je connais mal. Ca pue les intrigues infâmes et les règlements de compte déshonorants, mais ce n’est pas trop mon rayon, je n’ai jamais été paroissienne de l’archevêché.
Tout d’abord, pour assouvir sa vindicte et sa soif de pouvoir, le patriarche, en tripatouillant les canons, comme l’a démontré le théologien grec Théodore Zissis, conteste une autocéphalie reconnue depuis 300 ans. Je dirais que là, déjà, on peut agiter tous les canons du monde, même si techniquement c’était vrai, faire une chose pareille est d’une perfidie absolument inqualifiable, quand on a reconnu quelque chose si longtemps, on s’y tient. Il est vrai que Constantinople avait déjà poignardé l’Eglise russe et son saint patriarche martyr Tikhon, au moment de la révolution. C’est déjà une tradition. Tikhon, le martyr, qui lui, s’opposait aux grands de ce monde, n’était donc pas réellement patriarche de Moscou ?
Bien que le métropolite de Kiev Onuphre soit unanimement reconnu comme un saint homme, désintéressé, humble et ferme, quelqu’un comme le patriarche Tikhon, en somme, le patriarche Bartholomée, mû par de vilains sentiments et de vilains gnomes de la CIA et de l’oligarchie supranationale mondialiste, décide de lever l’anathème jeté par Moscou sur le douteux Philarète, d’octroyer le Tomos alors que l’Eglise canonique n’en veut pas, à une bande de clowns discrédités partout, même en Ukraine, où à l’encontre des calculs et intrigues, le peuple orthodoxe initial continue à soutenir avec une ferveur et une fermeté exemplaires son lumineux pasteur. Acte qui bien entendu déchaîne les néonazis et les uniates, aussi orthodoxes que je suis musulmane, et  accentue terriblement les répressions, les spoliations, les brutalités, les persécutions. Quid des liens de la nouvelle église du Tomos avec le gouvernement ukrainien fantoche et sanglant, avec le satanique Soros, avec des mafieux comme Joe Biden et Kolomoïski ? Le gouvernement russe s’est-il mêlé de cette affaire ? Des consuls russes vont-ils démarcher, comme en ce moment, les diverses églises locales en agitant la carotte et le bâton ? Même la presse aux ordres ne le mentionne pas, c’est dire qu’il n’y a vraiment pas lieu.
Je rappelle que Philarète, qui pensait devenir calife à la place du défunt Pimène, et contre lequel le vote a été massivement en faveur d’Alexis II, a délaissé le KGB pour la Cia, s’est autoproclamé patriarche de Kiev, s’est lancé dans les affaires, le mariage et la paternité, et allant périodiquement mendier des armes aux Américains, proclamait que « le Donbass devait expier dans le sang le péché de fédéralisme ». Et en effet, le sang coule là bas autant qu’il le souhaite.
L’affaire du Tomos a été menée avec une impudence, une morgue positivement incroyables. Le lumineux métropolite Onuphre traité comme un larbin par ce vieillard méchant et renfrogné. Et l’on a bombardé métropolite le grotesque Epiphane, qui respire la vanité, la stupidité et l’arrogance, et qui n’a même pas été ordonné dans la succession apostolique. Pas grave. Ce que veut le pape du Phanar, le pape du Phanar le fait, l’Orthodoxie dût-elle connaître un schisme irréparable, et les petites gens d’Ukraine et leurs prêtres un sort funeste, pas son problème. Le métropolite Hilarion essaie avec diplomatie d’envisager que le pape du Phanar a été abusé, qu’il ne sait pas ce qu’il fait. Cela part sans doute d’une bonne intention, mais à moins qu’il ne soit gâteux, il ne peut ignorer ce qu’il fait.
Je parle de schisme, car évidemment, de vrais orthodoxes purs et durs comme, par exemple, le métropolite Luc de Zaporojié qui ne mâche pas ses mots (« une épée », dit Slobodan Despot) ou l’higoumène de Valaam, ne peuvent soutenir des entreprises pareilles s’ils en ont connaissance. C’est impossible, c’est trop immonde, et ce n’est pas uniquement une question de canons interprétés comme ci ou comme ça par des saduccéens phanarodoxes, C’est une question de discernement. D’un côté des millions d’orthodoxes plongés dans la persécution avec un primat d’une rare élévation spirituelle, de l’autre une bande de coquins, de magouilleurs, compromis jusqu’aux tréfonds, et de vrais bandits internationaux capables de tout. Là quand même les choses sont claires, à moins de ne pas vouloir en entendre parler. Canons, pas canons, exemples croustillants d’indignité ecclésiastique hâtivement exhumés ou inventés pour ternir l’éclat de la bannière orthodoxe que Dieu a fiché en Ukraine, moi je vois bien où est le Christ. Il est avec le saint homme persécuté et ses fidèles, pas avec les brutes qui les persécutent, il n’est pas avec Philarète, il n’est pas avec Epiphane, il n’est pas avec Porochenko ou Zelinsky, il n’est pas avec Pompeo et le département d’Etat américain qui va intimider ou acheter hiérarques et monastères et répandre des calomnies dans tous les journaux à sa solde. Aussi je dis non aux uns et oui à l’autre, oui à l’Eglise du métropolite Onuphre, qui ne renie pas celle de Moscou, parce qu’elles ont les mêmes martyrs, la même histoire, la même mémoire.
Mais nous voyons maintenant que s’il est des orthodoxes purs et durs dans l’Eglise grecque ou les autres églises, il est des hiérarques qui se déballonnent, se compromettent, sont prêts à partager la coupe de l’eucharistie avec des instruments indignes de forces antichrétiennes et antiorthodoxes, déshonorant ainsi leur rang et leur église. Et devant les silences gênés, qu’on a pu croire diplomatiques, on commence à se demander si nous n’allons pas avoir une belle série de baisers de judas.
Curieusement, ces collusions et ces infamies n’intéressent pas du tout notre jeune homme, il est vrai que la note sur son brillant travail ne serait pas du tout du même ordre.
Je le laisse hurler avec les loups dans le tableau de Jérôme Bosch où il s’ébat, en compagnie de toutes sortes de personnages caricaturaux, comparables à ceux qui crachent sur le Christ, dans les œuvres de la Renaissance. Nul doute qu’il sera très applaudi. Et magnifiquement noté. A peine mal converti, le voilà phanarodoxe. Je le félicite.

J'ajouterai cette déclaration du métropolite Luc de Zaporojié, avec lequel, comme avec le métropolite Onuphre, je suis fière d'être en communion:

L'Église survivra ces temps de trahison (metr. Luc)


traduction originale en anglais :
https://russian-faith.com/guarding-fullness-church-times-betrayal-n2514

"Nous sommes arrivés à ce moment où la Vérité se révélera non pas dans les décisions des Synodes cléricaux ou même des Conciles des différentes Églises... mais plutôt par la fidélité de chacun, considéré individuellement, aux dogmes et Canons chrétiens de l'Eglise Une Sainte, Catholique et Apostolique."

Une note encourageante de l'illustre métropolite Luc de Zaporozhye - Même si un certain nombre de patriarches et d'évêques de haut rang s'égarent, la véritable Église sera toujours présente sur Terre, par l'intermédiaire des évêques et des personnes qui restent fidèles.

-=-=-=-=-




Le Christ est parmi nous, mes chers lecteurs ! 

Soyez fidèles à Dieu en parole, dans la vie et dans l'amour !

Réflexions sur la déclaration du Saint Synode de l'Eglise orthodoxe russe.

Le changement dynamique de la société planétaire montre d'autant plus l'accélération du processus de mondialisation, qui conduira à la dernière période de la vie humaine dans ce monde terrestre.

La participation active de diplomates étrangers à la vie de l'Église Orthodoxe ne peut s'expliquer simplement en termes géopolitiques. Derrière tout cela, une personne peut ressentir quelque chose de plus important et de plus significatif que les intérêts politiques et économiques. L'esprit du mal universel a été activé dans la sphère des relations ecclésiales, pour lesquelles il était nécessaire de préparer le sol à l'avance.

Dans les conditions des derniers temps, l'existence de l'Église changera aussi.

La présence de la vertu de la fidélité au Christ séparera les fidèles de ceux qui adorent l'antéchrist, dont la puissance dans ce monde sera présentée extérieurement dans les nombreuses diverses traditions religieuses, y compris l'Orthodoxie. Leur légitimité (dans l'ordre mondial) sera déterminée par leur volonté de s'incliner devant l'image de la bête. Ceux qui refusent de le faire seront déclarés illégaux.

Saint Ignace le Théophore disait : "Là où est l'évêque, là est l'Église." La plénitude de l'Église est présente dans la communauté, qui est composée de l'évêque - comme successeur des apôtres - du collège des prêtres et des diacres, et du peuple croyant, unis dans l'assemblée eucharistique. Cette plénitude est autosuffisante et offre à ses membres tout ce dont ils ont besoin pour la connaissance que Dieu notre Rédempteur nous a donnée.

Il est vital pour nous de comprendre cette vérité, afin que nous puissions garder la pureté de l'Orthodoxie dans les nouvelles situations de la société humaine.

Dans le cas des Églises de Constantinople et de Grèce, nous voyons que les décisions de l'antéchrist ne sont pas acceptées par la plénitude de l'église, mais plutôt par les administrateurs supérieurs qui ont été préparés en conséquence par les directeurs du nouvel ordre mondial.

En même temps, au sein même de ces Églises, il y a un grand nombre de clercs et de laïcs qui ne sont pas d'accord avec ces décisions et restent fidèles à la sainte Tradition. On peut dire avec confiance qu'à l'avenir, les diplomates étrangers chercheront à exercer une influence sur les évêques des autres Églises locales, surtout sur ceux qui ont une voix qui fait autorité.

Pourtant, cela ne signifie pas pour autant que chaque Église locale s'éloignera de Dieu uniquement à cause des décisions d'un petit groupe de personnes.

Il s'ensuit que, selon l'ecclésiologie du saint martyr Ignace le Théophore et la tradition ecclésiale ancienne, la communion eucharistique doit être gardée par l'unité inter-Eglises avec les communautés eucharistiques qui ne se sont pas engagées sur la voie de la trahison de leur Foi.

Selon l'esprit des temps et les paroles prophétiques de notre Sauveur, nous pouvons évaluer que la fidélité à l'Église Mère sera maintenue dans la sainteté au niveau de l'être individuel de chaque plénitude Eucharistique (communauté), conduit par des évêques qui ne se sont pas engagés dans la voie de la trahison.

C'est pourquoi le Synode de l'EOR a décidé de garder la communion eucharistique avec les hiérarques qui n'ont pas accepté les décisions non-canoniques et maléfiques du Synode des évêques de l'Eglise orthodoxe grecque. C'était une décision correcte, profondément réfléchie et sage.

Nous sommes arrivés à ce moment où la Vérité se révélera non pas dans les décisions des Synodes cléricaux ou même des Conciles de diverses Églises, qui peuvent déjà être guidés par l'esprit bureaucratique de ce monde, mais plutôt par la fidélité de chacun, considéré individuellement, aux dogmes et Canons chrétiens de l'Église Une Sainte, catholique et apostolique.

Nous devons vivre et croire de manière à donner une réponse positive à la question posée par notre Sauveur : "Trouvera-t-Il la Foi, quand Il reviendra pour juger le monde" (cf. Lc 18,8) ? Seul le petit troupeau qui sera resté fidèle à Dieu Lui répondra un puissant "Oui !"
 

Métropolite Luc de Zaporozhye
17 octobre 2019



3 commentaires:

  1. Chère Laurence, j'ai désactivé tous les plugins de sécurité dans mon navigateur.
    Je tente de voir si je peux enfin poster de cette façon.
    Si ça ne passe toujours pas, je vous posterez ceci par email :
    - Le catholique que je suis, et qui vous lit avec assiduité, partageant tant de choses de ce que vous écrivez... ayant choisi de demeurer catholique, selon l'adage qu'on ne quitte pas un navire qui coule : on écope et on tente de colmater les voies d'eau, est tenté de vous redire à quel point Facebook est nocif et combien ce "réseau" est un filet de l'Adversaire.
    Je veux être bref, donc je citerai Alexandre Soljénitsine sur le « Le droit de ne pas savoir » et le « déclin du courage »

    [...]il ne faut surtout pas [...] plonger de façon permanente dans « …cette hâte et cette superficialité qui sont la maladie mentale du XXe siècle ». La presse est un maître puissant en la matière, qui suit « le vent du siècle », pratique la « sélection » et abreuve à tort et à travers, surtout à travers – c’est plus rentable – l’opinion publique. Soljénitsyne défend joliment ce « droit de ne pas savoir », qu’on ne connaît plus, de ne pas savoir l’inessentiel, l’accessoire, le superflu : ce droit « de ne pas encombrer son âme créée par Dieu avec des ragots, des bavardages, des futilités », qui nuisent à notre intériorité et annihile la saine réflexion et le nécessaire retour sur soi. Que dirait-il aujourd’hui, en ce temps de sur-communication permanente ?

    Amicalement,
    Etienne

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  2. Bien entendu cher Etienne, mais il faut aussi être au courant des tenants et aboutissants quand s'approchent des choix cruciaux.

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