J'ai passé une nuit difficile. Rosie montait la garde dans ma chambre, pour empêcher Rita d'accéder au lit, réservé aux chats, dans son esprit. Mais sa présence arrachait d'incessants grognements à Rom qui ne peut pas la voir. Ne pouvant pas dormir, je suis allée corriger mon livre, puis je suis revenue m'écrouler. Rosie avait quand même décidé de se coucher. Rita a réussi à gagner la place convoitée, mais elle a fait partir les chats. Tout cela me courait dessus dans tous les sens.
Au matin, Rosie a presque fait des fêtes à l'intruse. Je n'ose pas l'engueuler alors elle vide toutes les gamelles y compris celle de Rita qui fait la difficile.
Je suis allée jardiner, Rita me suit comme mon ombre. Je ne suis pas sûre qu'elle raffole du grand air, mais tout plutôt que de me lâcher. Tout ça, dehors, ne s'entendait pas mal, sauf que Rosie embête Georgette, et Rita aussi, mais Rosie estime qu'elle est la seule à pouvoir se le permettre.
Dans l'après-midi, j'ai décidé d'aller faire des courses pour la meute, panique de Rita, dès qu'elle m'a vue m'habiller. Elle s'est jetée sur son sac, en le grattant frénétiquement pour entrer dedans. Je l'ai prise avec moi, mais le temps de faire le tour de la voiture, pour rejoindre ma place après l'avoir installée, elle poussait déjà des cris angoissés debout contre la vitre. Son ex patronne me disait qu'elle restait souvent seule, parfois deux jours de suite. Eh bien je pense que cela ne devait pas lui plaire.
Rosie recommence à aller se promener, je pense qu'après avoir constaté qu'elle restait le chef de meute, ce qu'elle rappelle périodiquement, elle se rend compte que la demie portion ne change pas grand chose à sa vie. Rita passe tout le temps que je passe moi-même à mon bureau dans un panier sous ma table et sur mes pieds.
Le plus dur est fait.
Au matin, Rosie a presque fait des fêtes à l'intruse. Je n'ose pas l'engueuler alors elle vide toutes les gamelles y compris celle de Rita qui fait la difficile.
Je suis allée jardiner, Rita me suit comme mon ombre. Je ne suis pas sûre qu'elle raffole du grand air, mais tout plutôt que de me lâcher. Tout ça, dehors, ne s'entendait pas mal, sauf que Rosie embête Georgette, et Rita aussi, mais Rosie estime qu'elle est la seule à pouvoir se le permettre.
Dans l'après-midi, j'ai décidé d'aller faire des courses pour la meute, panique de Rita, dès qu'elle m'a vue m'habiller. Elle s'est jetée sur son sac, en le grattant frénétiquement pour entrer dedans. Je l'ai prise avec moi, mais le temps de faire le tour de la voiture, pour rejoindre ma place après l'avoir installée, elle poussait déjà des cris angoissés debout contre la vitre. Son ex patronne me disait qu'elle restait souvent seule, parfois deux jours de suite. Eh bien je pense que cela ne devait pas lui plaire.
Rosie recommence à aller se promener, je pense qu'après avoir constaté qu'elle restait le chef de meute, ce qu'elle rappelle périodiquement, elle se rend compte que la demie portion ne change pas grand chose à sa vie. Rita passe tout le temps que je passe moi-même à mon bureau dans un panier sous ma table et sur mes pieds.
Le plus dur est fait.
Un superbe panier qui lui va merveilleusement au teint ou devrais - je dire au poil.Une acclimatation rapide, des ondes affectueuses remplissent cette maison.
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